Israël, l Bonne Nouvelle et la Torah
Messie 2030 – Volume 5 : Israël, la Bonne Nouvelle et la Torah vient clôturer la série Messie 2030. Ceux d’entre vous qui ont lu les volumes précédents savent que la chronologie présentée dans les volumes 1, 2 et 4[1] repose sur des bases bibliques solides. Selon cette perspective, la date du retour de Yéshoua en 2030 apparaît non seulement envisageable, mais aussi hautement probable.
Cela étant, contrairement à d’autres tentatives de prédiction, comme celles de Harold Camping,[2] nous ne revendiquons aucune infaillibilité. Il est essentiel d’examiner nos conclusions avec discernement et de les confronter à la Parole, à l’exemple des Béréen. Notre démarche se veut avant tout un outil d’étude, et non une proclamation dogmatique.[3]
Il est intéressant de noter qu’il ne sera pas nécessaire d’attendre jusqu’en 2030 pour confirmer ou infirmer cette chronologie. En effet, dès le 28 mars 2027,[4] il sera possible d’en vérifier ou non la validité. Cette date correspond à la fête des Prémices dans le calendrier biblique.[5] Si la chronologie proposée par Messie 2030 s’avère être correcte, ce jour marquera également l’Abomination de la Désolation[6] et le début des 1290 jours prophétiques annoncés par Daniel.[7]
Ces 1290 jours nous conduiront directement au 7 octobre 2030,[8] à Yom Kippour[9] – le jour de la défaite de l’antichrist.[10]
Quelle que soit la forme que prendra l’Abomination de la Désolation,[11] plusieurs prophéties[12] nous permettent de déterminer non seulement les événements qui marqueront le commencement de la Grande tribulation,[13] mais également sa durée.[14]
Aujourd’hui, l’Église est plongée dans un profond sommeil. La plupart des croyants ignorent que le Messie est à la porte.[15] En raison d’interprétations bibliques erronées, ils ne parviennent pas à discerner les signes des temps. Beaucoup regardent dans la mauvaise direction – vers l’Occident – attendant un scénario global qui ne se réalisera probablement pas.[16]
Lorsque l’on étudie la Bible dans son contexte hébraïque, tout porte à croire que Rome ne figure pas dans les prophéties de Daniel et ne joue aucun rôle direct dans les événements de la fin des temps. L’entité qui semble correspondre le plus fidèlement aux critères décrits par Daniel est le califat islamique, dont la résurrection devrait occuper une place centrale dans l’accomplissement des prophéties encore à venir.[17] Ce qui rend cette réalité encore plus fascinante, c’est que les acteurs mentionnés explicitement dans la Bible[18] annoncent aujourd’hui leurs intentions avec une clarté déconcertante.[19] Or, ces intentions correspondent précisément à ce que la Parole prophétise. Nous pouvons donc affirmer qu’une coalition dirigée par la Turquie, incluant également l’Iran,[20] envahira Israël dans les années à venir.[21] Si cette invasion se produit au printemps 2027 et que Jérusalem tombe, alors nous saurons avec certitude que Yéshoua reviendra à l’automne 2030.[22]
Nous comprenons parfaitement que ce que nous partageons ici puisse représenter un véritable défi,[23] surtout si cela remet en question des croyances profondément ancrées – ce qui est probablement le cas pour la majorité d’entre nous.[24] C’est pourquoi nous vous encourageons à examiner toutes choses à la lumière des Écritures et à retenir ce qui est bon.
Il est possible que, dans quelques années, nous soyons confrontés au plus grand défi de toute notre vie. Si la date du retour du Messie en 2030 venait à être confirmée – fin mars 2027 – cela signifiera qu’il ne nous restera alors plus que trois ans et demi avant d’être présentés devant notre Roi.
Si Dieu nous accorde la grâce de discerner les temps dans lesquels nous vivons et de nous éclairer à l’avance sur la date de son retour – « ceux qui auront de l’intelligence comprendront »[25] – alors tous ceux qui, par la foi, répondront à l’appel feront partie du reste que Yahweh est en train de se réserver.[26] Quelle grâce, quel privilège, mais aussi, quelle responsabilité !
À l’instar de Jean-Baptiste, nous serons appelés à aplanir les sentiers avant la venue de Yahweh, à proclamer la repentance,[27] car le Royaume des cieux n’aura jamais été aussi proche dans toute l’histoire de l’humanité. Je crois fermement que tel sera l’appel des choisis, lorsqu’ils sauront que la Grande Tribulation a commencé.
Se pourrait-il que ceux appelés à « enseigner la justice à la multitude »[28] soient en réalité les « deux témoins » mentionnés dans Apocalypse 11 ? [29]
Il n’est pas difficile d’imaginer que la majorité des croyants ne se rendra pas compte que nous serons alors entrés dans les trois dernières années de ce monde, car les scénarios qu’ils attendent ne se seront pas réalisés.[30] Beaucoup, bien qu’animés de bonnes intentions, restent profondément ancrés dans des cadres eschatologiques traditionnels, ce qui rendra probablement difficile d’aborder ces nouvelles perspectives avec un esprit ouvert. Mais, lorsque Yahweh ouvrira les cœurs selon son timing parfait, notre rôle consistera à semer les graines de la vérité avec fidélité et à lui faire confiance pour la moisson. Notre prière est de toujours présenter la vérité avec humilité et amour, en laissant l’Esprit convaincre et guider nos frères et sœurs dans toute la vérité.
Israël, la Bonne Nouvelle et la Torah, le cinquième et dernier volume de la série Messie 2030, est peut-être le plus important. Notre positionnement face aux vérités exposées dans ce livre influencera profondément, non seulement la manière dont nous traverserons la Grande Tribulation, mais aussi notre préparation spirituelle. Il déterminera la façon dont nous nous tiendrons devant notre Roi, prêts à rendre compte.[31]
Nous comprenons que, pour certains, les sujets abordés ici peuvent être perçus comme des « messages contradictoires ». Toutefois, notre seul objectif est de présenter fidèlement l’enseignement des Écritures. En réalité, la vérité est relativement simple à appréhender. Ce qui s’avère plus difficile, c’est d’accepter qu’elle vienne bousculer nos croyances les plus profondes. S’engager sur le chemin de la véritable foi que Yahweh est en train de restaurer implique de réapprendre à croire, non pas dans l’évangile tel que nous l’avons toujours reçu, mais dans la Bonne Nouvelle authentique, inaltérée, où la Torah occupe une place centrale et sert de fondement même à la foi.[32]
Comme nous allons le voir en détail, l’adversaire a perverti la véritable foi en la détournant vers un évangile façonné par un paradigme non biblique, coupant ainsi le Corps de ses racines hébraïques. Il a transformé l’Alliance en Testament, détachant les croyants de leur responsabilité envers Yahweh, et a divisé la Parole de Dieu, rendant les deux tiers de celle-ci sans importance pour les chrétiens. Il a effacé l’identité d’Israël, en transformant le peuple choisi en « Église » païenne, opérant sous des lois différentes de la Torah. Des changements majeurs ont été apportés, tels que la substitution du shabbat par le dimanche et le remplacement des fêtes bibliques par des fêtes païennes. La Bonne Nouvelle, initialement centrée sur Israël, sa restauration, sa terre et son Roi, a été transformée en un salut égocentrique, promouvant une vie éternelle dans un paradis céleste.
À l’heure actuelle, l’ensemble de la foi chrétienne repose sur un cadre théologique qui déforme le message originel donné à Israël. Au lieu de reconnaître l’alliance permanente entre Dieu et son peuple,[33] le christianisme a redéfini la foi comme un simple système de croyance détaché de l’obéissance. Cette rupture se manifeste de plusieurs manières fondamentales :
- La nature de la foi elle-même a été modifiée : La foi biblique est une relation d’alliance enracinée dans l’amour et l’obéissance.[34] Cependant, le christianisme en a fait un concept abstrait où l’assentiment intellectuel remplace l’action, rendant inutile l’obéissance à la Torah.
- L’identité du Messie a été redéfinie : Yéshoua, le Messie juif, venu accomplir et confirmer les promesses faites à Israël,[35] a été transformé en une figure universelle détachée de son héritage hébraïque. Ses enseignements ont été interprétés à travers une lentille philosophique grecque, les dépouillant de leur contexte et de leur signification d’origine.
- Le message du Royaume a été déformé : Yéshoua a prêché la restauration d’Israël[36] et l’établissement du règne de Yahweh sur Terre. Le christianisme a remplacé ce message par un message de salut personnel menant à une vie après la mort, coupant les croyants de leurs racines hébraïques et de leur rôle dans la rédemption d’Israël.
- La définition de la sainteté a été réécrite : Au lieu de vivre selon les instructions de Yahweh, conformément à sa Torah,[37] le christianisme a introduit son propre système moral basé sur le raisonnement humain, rendant caduques les normes mêmes que Dieu avait établies pour tous ceux qui se réclament de lui.
- La compréhension de la grâce et de la Loi a été inversée : Au lieu de considérer la grâce comme la capacité donnée par Yahweh à ceux qui croient en lui de pouvoir marcher dans l’obéissance à sa Torah, sous la conduite de l’Esprit,[38] le christianisme l’a redéfinie comme une autorisation à rejeter la Torah, promouvant un évangile sans Loi qui contredit à la fois les paroles de Yéshoua[39] et les enseignements apostoliques.[40]
Cette transformation ne s’est pas produite du jour au lendemain, mais a été un processus graduel s’étendant sur plusieurs siècles. À travers cette transformation, Satan n’avait qu’un seul but : retirer la foi de son fondement hébraïque pour entraîner les croyants dans la mauvaise direction, les empêchant ainsi d’être le sel de la terre et la lumière du monde. Le résultat est une foi qui prétend suivre le Messie tout en rejetant le mode de vie qu’il a défendu.
Il est essentiel de comprendre que Yahweh est en train de restaurer un reste fidèle au sein de son peuple – un reste animé du désir de revenir aux anciens sentiers.[41] Ceux qui recherchent la vérité doivent examiner ces choses avec soin, en mettant chaque doctrine à l’épreuve de l’ensemble des Écritures, plutôt que de s’appuyer sur les traditions des hommes.[42]
Ce volume présente une approche à la fois dialectique[43] et pratique.[44] Il offre une réflexion approfondie sur les enjeux essentiels et la restauration que le Père attend de ses enfants, tout en fournissant des solutions concrètes pour se positionner selon la volonté de Yahweh.
Messie 2030 volume 5 met en évidence la stratégie subtile et destructrice opérée par Satan, qui a réussi à détourner l’Église de son appel pour l’empêcher d’être la lumière qu’elle était censée être. Face à ce constat, cet ouvrage invite le lecteur à étudier les Écritures dans leur contexte hébraïque, et à se positionner en conséquence. Chacun d’entre nous est placé devant un choix décisif : croire en Yahweh, en son Messie, Yéshoua et en la totalité de son témoignage – ce qui constitue la véritable foi biblique – ou rester prisonnier d’un système corrompu, façonné par la tradition et destiné à être jugé.
Enfin, ce livre met en lumière l’importance d’un retour à une adoration authentique, en Esprit et en vérité, selon le désir de notre Père. Cette adoration ne se limite pas à des pratiques extérieures, mais exige une transformation intérieure profonde et un alignement sincère avec les enseignements du Messie.
Yahweh est en train de préparer et de rassembler un reste – des vierges sages. Notre prière est que chacun de nous parvienne à l’unité de la foi et de la connaissance du Fils de Dieu, pour devenir des hommes et des femmes accomplis, à la mesure parfaite de la stature du Messie, afin que, lorsqu’il paraîtra, nous soyons remplis d’assurance.
Puissions-nous faire partie de ceux qui veillent et prient en tout temps, afin de recevoir la force nécessaire pour échapper aux épreuves à venir et pour tenir fermes, prêts à rencontrer Yéshoua, le Seigneur des seigneurs et Roi des rois.
C’est de lui et par lui et pour lui que sont toutes choses.
À lui la gloire aux siècles des siècles.
[1] Voir Messie 2030 Volume 1 – La chronologie prophétique messianique ; Messie 2030 Volume 2 – La chronologie de la première venue du Messie et Messie 2030 Volume 4 – La chronologie de la seconde venue du Messie.
[2] Harold Camping (1921-2013) un prédicateur évangélique américain et animateur radio, a prédit à plusieurs reprises la fin du monde, affirmant que l’enlèvement aurait lieu le 21 mai 2011, puis reporté au 21 octobre 2011 après l’échec de sa première annonce.
[3] La grande différence entre nos enseignements et ceux de Harold Camping réside dans notre fondement biblique, notre méthodologie rigoureuse et notre transparence. Nous encourageons chacun à examiner les tentatives eschatologiques historiques et à comparer leur méthodologie avec la nôtre afin de constater cette différence fondamentale. Notre confiance ne repose pas sur des calculs arbitraires, mais sur une analyse approfondie et scripturaire de plus de cinquante prophéties et modèles bibliques.
[4] La première édition de ce volume est écrite au printemps 2025, soit deux ans avant la date qui nous permettra de confirmer ou d’infirmer la chronologie présentée dans Messie 2030.
[5] En 2027, il y a un décalage d’un mois entre le calendrier biblique et le calendrier rabbinique.
[6] Daniel 11.31 ; Daniel 12.11 ; Matthieu 24.15 ; Marc 13.14.
[7] Daniel 12.11.
[8] Si la chronologie proposée par Messie 2030 est exacte, Yéshoua détruira l’Antéchrist le 7 octobre 2030, soit sept ans jour pour jour après l’attaque terrible du Hamas dans le sud d’Israël – le 7 octobre 2023. Quelle revanche ! Le Hamas, animé par son idéologie totalitaire (l’Islam), a attaqué Israël le jour de Shemini Atzeret (le huitième jour de l’Assemblée, le jour saint qui suit les sept jours de la Fête des Tabernacles), et sera totalement anéanti à la même date – le jour de Yom Kippour en 2030. Est-ce une simple coïncidence ou un autre indice que la chronologie de Messie 2030 est correcte et que le système de la bête est bien l’Islam ?
[9] Si la chronologie proposée par Messie 2030 est valide, la première résurrection – l’enlèvement – aura lieu 10 jours avant, à la fête des trompettes le 28 septembre 2030.
[10] Comme le montre le volume 2, la première partie des trois ans et demi de la dernière semaine de Daniel (cf. Daniel 9.25-27) s’est accomplie entre Yom Kippour de l’année 26 (début du ministère de Yéshoua) et la fête des Prémices de l’année 30 (le jour de la résurrection du Messie). La seconde partie reprendra là où elle s’est terminée, c’est-à-dire à la fête des Prémices et nous conduira jusqu’à Yom Kippour de l’année 2030. Ainsi, nous aurons un miroir parfait dans l’accomplissement prophétique de ces fêtes : 3,5 années de l’automne 26 au printemps 30, et 3,5 années du printemps 2027 à l’automne 2030.
[11] S’agira-t-il d’un acte physique, accompagné de la cessation des sacrifices qui auront préalablement repris ? Ou bien s’agira-t-il d’un acte symbolique ? À ce stade, rien ne permet de le déterminer avec précision.
[12] Notamment les trois prophéties suivantes :
1) Zacharie 14.2 évoque la chute de Jérusalem, ou tout du moins de la moitié de la ville, avant le retour de Yéshoua.
2) Apocalypse 11.2 parle de la ville sainte – Jérusalem – qui sera foulée aux pieds par les nations pendant quarante-deux mois, soit trois ans et demi.
3) Apocalypse 13.5 et 7 mentionnent la bête, qui recevra l’autorité de faire la guerre aux saints et de les vaincre pendant quarante-deux mois, soit trois ans et demi.
Ces trois passages nous fournissent non seulement un point de départ – la chute et le piétinement de Jérusalem – mais aussi une durée précise : trois ans et demi.
[13] La chute de Jérusalem (cf. Zacharie 14.2).
[14] Trois ans et demi (cf. Apocalypse 11.2 ; 13.5,7 ; Daniel 7.25 ; 12.7).
[15] Si 2030 n’était pas l’année du retour du Messie, d’autres dates resteraient envisageables, notamment entre 2031 et 2033. Si la mort et la résurrection de Yéshoua en l’an 30 s’avéraient inexactes et que la crucifixion avait eu lieu en 31, 32 ou 33, alors l’accomplissement des 2000 ans (voir la prophétie d’Osée 6.2) correspondrait plutôt aux années 2031, 2032 ou 2033, laissant ainsi ouverte la possibilité d’un retour du Messie dans cette période.
[16] Le volume 3 de Messie 2030 démontre que l’épicentre des événements de la fin des temps est situé au Moyen-Orient et met principalement en scène un antichrist islamique et les nations musulmanes qui entourent Israël.
[17] L’Empire ottoman – dernier empire à avoir exercé une mainmise sur le Moyen-Orient, y compris sur la terre d’Israël – semble être la meilleure illustration de la bête blessée à mort qui revient à la vie (cf. Apocalypse 13.3). Aboli en 1924, le califat islamique pourrait très bien être rétabli dans les années à venir, potentiellement à partir de Jérusalem. En observant la situation actuelle au Moyen-Orient, et plus particulièrement en Syrie, il devient évident que la Turquie agit en coulisse pour restaurer sa grandeur passée. Tout laisse penser que nous sommes en train d’assister aux prémices de la résurrection de l’Empire ottoman.
Dans ce contexte, il semble tout à fait plausible que de nouveaux conflits émergent dans les mois et années à venir, culminant avec une invasion d’Israël – potentiellement au printemps 2027.
[18] Plusieurs prophéties bibliques démontrent que la Turquie sera l’acteur principal de la fin des temps : Ézéchiel 38 parle d’une coalition de nations menée par l’actuelle Turquie qui attaquera Israël dans la fin des temps ; Joël 3.6 parle « des enfants de Juda et de Jérusalem » vendus par « Tyr et Sidon » (le Liban/Hezbollah) et par les « Philistins » (la bande de Gaza/Hamas) aux « enfants de Yavan » (la Turquie). Zacharie 9.13 met en scène Yavan et Israël (Juda et Éphraïm) en train de combattre dans le contexte de la fin des temps.
[19] Lors d’un discours à Mardin, en Turquie en décembre 2024, le président Erdogan s’est adressé à une foule de jeunes qui scandaient Monsieur le Président, emmenez-nous à Jérusalem, en répondant : La patience apporte la victoire :
(https://x.com/Osint613/status/1870560012072095994).
Lorsque Recep Tayyip Erdoğan déclare à ses partisans : « La patience apporte la victoire », il sait exactement ce qu’il veut dire : « Attendez encore quelques années, et nous prendrons Jérusalem. » De même, lorsque Abu Mohammad al-Julani, le nouveau leader de la Syrie, affirme qu’après Damas, l’objectif est de prendre Jérusalem, il exprime clairement ses intentions. Ces déclarations ne sont pas simplement des paroles en l’air, mais des plans bien réfléchis, et leur exécution marquera un tournant majeur dans les événements à venir.
[20] Voir Ézéchiel 38.5.
[21] Un rapport publié début janvier 2025 met en garde contre un possible conflit entre Israël et la Turquie :
Un rapport met en garde contre un possible conflit entre Israël et la Turquie
[22] Nous pourrons non seulement le démontrer à travers la chronologie proposée par Messie 2030, fondée sur plus de 52 prophéties bibliques, mais aussi à travers d’autres prophéties qui décrivent avec précision les acteurs de l’ultime conflit qui s’achèvera au retour du Messie. Le point de départ de ces prophéties sera alors en train de se dérouler sous nos yeux !
[23] Notamment les dates précises mises en avant, qui contredisent le mantra répété sans cesse dans le monde évangélique : « Personne ne connaît le jour ni l’heure ». Ce passage est souvent interprété hors de son contexte. Pour une étude approfondie des paroles de Yéshoua, voir Messie 2030, volume 1.
[24] Pour une analyse complète du scénario le plus probable à venir, voir Messie 2030 – Volume 3 : Le scénario biblique de la fin des temps.
[25] Daniel 12.10.
[26] « Mais je laisserai en Israël sept mille hommes, tous ceux qui n’ont pas fléchi les genoux devant Baal et dont la bouche ne l’a pas embrassé »
(1 Rois 19.18 ; cf. Romains 11.4).
[27] La véritable repentance biblique est inséparable de l’obéissance aux instructions de Dieu – sa Torah. Concrètement, cela signifie de revenir à une adoration en Esprit et en vérité, en marchant comme Yéshoua a marché, c’est-à-dire, conformément à la Torah sous la conduite de l’Esprit.
[28] Daniel 12.3.
[29] La majorité attend deux personnages, mais il n’est pas exclu que les deux témoins soient en réalité deux groupes de personnes : Éphraïm et Juda, c’est-à-dire les croyants juifs (Juda) et non juifs (Éphraïm) en Yéshoua. Ceux-ci « n’auront pas fléchi les genoux devant Baal » – ils n’auront pas mélangé le saint et le profane – et auront été éclairés sur la date du retour et sur le déroulement du scénario biblique de la fin des temps. Ceux qui sauront avec certitude que Yéshoua revient en 2030 (et, si tel était le cas, nous le saurions précisément fin mars 2027) seront utilisés par Yahweh pendant trois ans et demi pour proclamer la repentance et le Royaume de Dieu qui vient.
[30] L’enlèvement n’aura pas eu lieu ; la Russie n’aura pas attaqué Israël ; l’Empire romain ne sera pas ressuscité ; il n’y aura pas eu de traité de paix de sept années entre l’antichrist et Israël ; le troisième temple n’aura pas été reconstruit ; l’antichrist ne sera pas à la tête d’un gouvernement mondial ; la puce ou la monnaie numérique n’aura toujours pas été imposée au monde entier, etc.
[31] « Et maintenant, petits enfants, demeurez en lui, afin que, lorsqu’il paraîtra, nous ayons de l’assurance et que nous ne soyons pas dans la honte loin de lui lors de son avènement » (1 Jean 2.28 ; voir également Ézéchiel 36.31-32 ; Luc 9.26 ; Matthieu 7.21-23).
Ce verset exhorte les croyants à rester attachés à Yéshoua afin d’être trouvés fidèles lors de son retour. L’assurance mentionnée ici découle d’une vie en accord avec sa volonté, tandis que la honte frappera ceux qui auront vécu dans l’illusion d’une foi sans obéissance (Matthieu 7.21-23). Ézéchiel 36.31-32 montre que la véritable repentance conduit à reconnaître nos fautes, et Luc 9.26 avertit que Yéshoua rejettera ceux qui l’auront renié par leurs actes. Demeurer en lui, c’est marcher dans l’obéissance et l’intégrité pour être reçu avec joie à son avènement.
[32] Une clarification s’impose : la Torah ne sauve et ne peut sauver personne – ce n’est pas son rôle. Elle entre dans la vie d’une personne une fois que celle-ci est sauvée par la grâce, au moyen d’une foi biblique authentique. La Torah devient alors un guide sacré, enseignant comment aimer son Sauveur et son prochain, et permettant de croître en maturité, dans la sanctification et la vérité.
[33] Le peuple de Yahweh est composé de croyants juifs et non-juifs, nés de nouveau, qui sont entrés dans la Nouvelle Alliance, scellée par le sang de Yéshoua, par la foi.
[34] Deutéronome 7.9 ; Jacques 2.17-24.
[35] Matthieu 5.17-19 ; Romains 15.8.
[36] Matthieu 10.6 ; Actes 1.6.
[37] Lévitique 11.44-45 ; 1 Pierre 1.16.
[38] Ézéchiel 36.26-27.
[39] Matthieu 5.17-19.
[40] Romains 3.31.
[41] Jérémie 6.16.
[42] Nous vous encourageons à tout examiner à la lumière de l’ensemble des Écritures. Si nous avons mal compris certains passages, nous accueillerons volontiers toute correction fondée sur les Écritures. Vous pouvez nous écrire à l’adresse suivante : contact@editions-shma.com.
[43] Nous examinerons les différentes interprétations théologiques concernant Israël, la Bonne Nouvelle et la Torah, et confronterons celles-ci afin de clarifier la vérité biblique, en exposant les erreurs ou fausses compréhensions. Le but est de favoriser une réflexion critique, permettant au lecteur de discerner la vérité en confrontant les arguments proposés à la lumière des Écritures.
[44] Contrairement à ce que beaucoup pensent, revenir aux racines hébraïques de la foi ne signifie pas un retour au légalisme ni à un judaïsme culturel, mais plutôt une restauration de la foi authentique dans toute sa richesse, son authenticité et sa profondeur, telle qu’elle a été conçue par Yahweh dès l’origine. Concrètement, nous explorerons ce que cela implique réellement.
